Composition du groupe : Chant : Juliette RAY Accompagnement au piano : Thierry PIQUET Violon, trompette : Sylvain BOLATON
Date de création : 2005
Type : Chanson française
Inspirations : Brel, Piaf, Trenet, Montand
Références : Récital dans l’Allier, le Cher, la Creuse, Le Puy de Dôme
Déjà à l’affiche : Chansons françaises d’hier… et de demain !
Ayant toujours apprécié ce que l’on appelle la « bonne chanson française », Juliette RAY, originaire de Volvic, n’a pas fait carrière dans le show-biz. Ayant cessé son activité professionnelle en 2001, elle séjourne une année entière, 2002, en Polynésie Française. Elle peut enfin se libérer et monter sur la scène des cabarets de Papeete à Tahiti, « le Paradise », « l’Apetaï », « les Remparts ». Ses interprétations en « karaoké » des grands succès de la chanson française, Piaf, Brel, Ferrat, Trenet… séduisent les popa (métropolitains) et les tahitiens de tous âges. | | |
En 2003, de retour en métropole, elle retrouve un professeur de musique pianiste, Thierry Piquet, et lui soumet l’idée de réaliser un disque. Les répétitions sont studieuses ; il fallut pratiquement une année pour préparer ce premier CD comprenant déjà une création originale, paroles et musique, « J’aurais voulu chanter ». En 2004, elle accepte une invitation à chanter sur l’esplanade du Casino de Néris les Bains, accompagnée au clavier par Thierry Piquet. C’est une « première » !
En 2005, après un récital ayant regroupé plus de 150 amateurs au théâtre de Néris, maisons de retraite, associations diverses (dont le Téléthon), mairies… lui donnent l’occasion de s’exprimer sur scène. Un deuxième musicien vient compléter l’accompagnement : Sylvain Bolaton, un pro du violon et de la trompette. Elle franchit les limites du département et se produit en Creuse, dans le Cher, dans le Puy de Dôme.
En 2006, pour son premier récital de l’année, devant plus de 200 « seniors » de la ville de Châtel-Guyon, elle est accompagnée par 4 musiciens. Aux deux habitués, Thierry Piquet et Sylvain Bolaton, viennent s’ajouter un accordéoniste, Claude Allard, et un batteur, Thierry Rollin. C’est à cette occasion qu’elle dépasse son 2000e spectateur.
Son tour de chant débute par une seule question « Que reste-t-il de nos amours ?» ; il propose au public plus d’une vingtaine de réponses puisées dans le répertoire d’auteurs et compositeurs dont la qualité artistique a été reconnue par le temps, Brel, Ferrat, Ferré, Sardou, Lama… ou chantées hier par des valeurs sûres de la chanson française, Edith Piaf, Henri Salvador, Annie Cordy… Il intègre, bien sûr, quelques unes de ses propres créations : « Après la vague », « J’aurais voulu chanter ».
Elle « aurait voulu chanter », nous disait-elle dans son premier CD ; maintenant elle ose le faire et très bien, au dire des quelque 2000 premiers spectateurs enthousiastes et de la presse dont les échos sont élogieux : | | |
«…un timbre chaud, sensuel, un velours profond ; dès l’entame des feuilles mortes, le charme agit…Certains rêvent leur vie durant d’être artistes ; d’autres, même si l’existence les a conduits sur des chemins moins buissonniers, le sont corps et âmes ; Juliette Ray est de ceux-là … » (La Montagne)
« L’inverse des Star’Ac …elle vit sur scène sa passion pour la chanson française, avec une certaine réussite. » (Version Fémina, magazine dominical de Centre France)
« …elle puise avec bonheur dans le répertoire de Piaf, Brel, Montand,…et interprète avec talent les oeuvres que lui compose son mari. » (Le Berry Républicain)
« …l’émotion, l’authenticité, la passion à faire partager plutôt que l’éphémère talent télévisuel aseptisé … » (Les Cahiers Bourbonnais)
«…chanteuse atypique, c’est d’une voix chaude et profonde qu’elle a séduit son auditoire… » (La Nouvelle République)
Reconnaissance : depuis fin 2005 elle est agréée par le Département de l’Allier, ce qui permet aux Communes, Communautés de communes, Associations, …qui en font la demande de bénéficier de l’aide à la diffusion de spectacles et de concerts. | | |