Prix de Rome

Son talent commence à être reconnu ; il reçoit une mention honorable au Salon des artistes Français en 1896, le 2e, puis le 1er prix du concours Chenavard pour la Femme à la coiffe, le 3e, le 2e en 1898, puis le 1er grand prix de Rome en gravure en 1902, récompense suprême ; le sujet à réaliser était une étude d’après nature d’un homme debout, “ main gauche sur une hanche et main droite légèrement relevée ”. Ce séjour de quatre années en Italie va lui permettre de copier les artistes de la Renaissance, de visiter Venise et de croquer l'intérieur de la basilique Saint-Marc, de découvrir Naples et tout particulièrement les bronzes antiques de son musée archéologique.