« Nous vivons presque toujours à l’extérieur de nous-mêmes » Fernando Pessoa
Il est question de mécanique.
Humaine.
Posant un regard sur la façon dont le genre humain représente mentalement ce qui l’entoure ; j’observe l’effet des pensées et des émotions sur nos comportements.
J’étudie comment l’humain se définit lui-même, uniquement en écho à ce qui est à l’extérieur.
J’examine les « formes-pensées », les notions, les valeurs, les conditionnements ; pour les remettre en cause.
Constatant que l’humain fonctionne principalement avec son mental, j’interroge la place du corps.
En noir et blanc, le dessin épuré ; je figure la polarité, la dualité. Provoquant le spectateur à mener une enquête sur ses croyances, ses références, son histoire.
J’invite à nous regarder depuis un autre point pour trouver la voie du milieu. Une réponse individuelle d’abord pour mieux appréhender le vivre ensemble, la réalité et créer un avenir nouveau, paisible.
« De toutes nos maladies, la plus sauvage c’est le mépris de notre être » Montaigne